L’interface ressemble beaucoup à n’importe quelle autre application VPN, avec un bouton de connexion, des informations sur l’état des serveurs et une liste d’emplacements, le tout affiché sur plusieurs colonnes, ce qui vous permet d’avoir accès à toutes les fonctions très facilement.
Pour se connecter, rien de plus simple on appuie sur le bouton connexion et les notifications du bureau vous indiquent quand vous êtes connecté et quand vous ne l’êtes plus. L’interface se met à jour pour afficher votre nouvel emplacement virtuel et votre adresse IP.
Une liste d’emplacements de base vous permet de choisir parmi tous les pays disponibles. Pour trouver un pays rapidement, il suffit d’utiliser le champ de recherche, mais il n’y a pas d’informations sur la charge serveur ou encore sur le temps de ping pour aider à faire le meilleur choix. De plus, si la liste « Recently Used » permet de retrouver les serveurs récemment utilisés, il n’y a pas de système de favoris pour gérer les serveurs les plus couramment utilisés.
Les fonctions MultiHop, whitelister et cleanweb apparaissent clairement dans le panneau latéral ce qui les rend très faciles d’accès.
Le panneau « paramètres » permet un réglage précis des fonctions citées ci-dessus mais aussi d’activer kill switch, ou la protection wifi qui vous permet de choisir par exemple de se connecter automatiquement via un serveur vpn si le réseau wifi est public.
On retrouve aussi des fonctionnalités plus conventionnelles comme des options pour lancer le VPN avec Windows ou changer le protocole entre Wireguard, OpenVPN UDP et TCP, ou IKEv2.
Pas cher et performant, je l’utilise depuis plus de 2 ans.